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Épisode 3 — Pourquoi les faux experts sont plus persuasifs que les vrais.

par Alexe Martel
Temps de lecture : < 1 minute

Dans le troisième épisode de mon podcast 15 minutes de persuasion, je te partage ma théorie selon laquelle les faux experts sont plus persuasifs que les vrais.

Pour en parler, je m’inspire de l’histoire vraie d’une amie compétente, pertinente et talentueuse qui m’a confié être jalouse d’un gars :

  • Moins qualifié…
  • En affaires depuis seulement quelques semaines…
  • Mais qui a + de visibilité et + de succès qu’elle sur le web.

Comment ça se fait que mon amie, en affaires depuis plus longtemps, avec une feuille de route pas mal plus impressionnante et des témoignages clients exceptionnels est moins persuasive que le gars qui débute? C’est ce que j’essaye de disséquer tout au long de l’épisode.

L’effet Dunning-Kruger

Dans le podcast, j’explique le fameux « syndrome de l’imposteur » par l’effet Dunning-Kruger, qui veut que plus on est compétent, moins on a confiance en soi. A contrario, moins on connaît un sujet, plus on est confiant.

Voici le p’tit graphique qui représente bien le biais cognitif en question :

Arjuna Filips — Image tirée de Wikipédia

Pour aller plus loin, tu peux :

3 Commentaires
  1. Virginie

    Wow !!!
    C’est tellement juste et pertinent.
    Personnellement, ça m’ébranle complètement et ça me réconforte en même temps. Merci infiniment pour ce partage extraordinaire qui influencera assurément la suite de mon parcours entrepreneurial.

    Réponse
  2. Elizabeth Houde

    Alexandra M. : je vous aime!

    J’ai adoré ce podcast.

    Je suis partie à mon compte (pionnière travailleuse autonome; ça n’existait pas à l’époque :-)) en 1992 avec un bébé en plein terrible 2, mono-p sans soutien familial ni pension. Pauvre. Vraiment pauvre, mais pleine de guts et d’espoir… et de naïveté).
    Sans l’effet Dunning Kruger (c’est tu comme ça que ça s’écrit?) dont vous parlez, dont je ne savais pas que je souffrais à l’époque et dont j’ignorais l’existence même, je ne serais pas toujours là après presque 30 ans.

    Et savez-vous quoi?

    Après 30 ans, je souffre encore du syndrome de l’imposteur – même si, depuis ce temps, je suis allée me chercher une maîtrise pour me sentir plus compétente…

    Aujourd’hui, en vous écoutant relater l’expérience de votre amie, je découvre que ce syndrome m’envahit et me confine tel une camisole de force, mais seulement dans certains contextes où il m’est impossible de me déployer. Et voilà pourquoi je me retire souvent, trop souvent, avant d’avoir pu faire quoi que ce soit pour aider clients et collègues.

    Je trouverais intéressant de creuser un peu plus loin les circonstances qui alimentent ce fameux syndrome de l’imposteur.

    Alexandra, je viens de découvrir vos podcasts (j’étais déjà addict à vos posts LinkedIn) et je ne peux déjà plus m’en passer.

    Je vous remercie d’être là et d’être vous. Vous m’avez fait beaucoup de bien aujourd’hui et je vois que je suis pas seule aux prises avec ce foutu syndrome.

    À bientôt et auplaisir de vous lire et de vous entendre!

    Réponse
  3. so

    super, j’ai compris, je savais que ça venait de moi mais je ne savais pas pq !…..merci

    Réponse
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